Thomas Lonchampt
Actualité
Juillet et Août 2020: intervenant pour les Animactions et l'été culturel au quartier du Sanitas de Tours, avec la cie Pih-Poh
Août: MAUVAISES GRAINES (téléfilm France 3) - réalisé par Thierry PETIT, rôle de Marciac
Novembre: Création de Conte d'Amour (Texte lauréat du Prix Lucernaire Laurent Terzieff-Pascale de Boysson 2020), écrit et mes par Thomas Gaubiac
Janvier-Février-Mars 2021: Lecteur pour Mille lectures d'hiver, Ciclic
2020-2021:
- intervenant avec la classe de 1ère option facultative théâtre du Lycée Grandmont, Tours
- intervenant dans un atelier théâtre avec un groupe d'adultes du lieu de vie de la vallée Germain
Août: MAUVAISES GRAINES (téléfilm France 3) - réalisé par Thierry PETIT, rôle de Marciac
Novembre: Création de Conte d'Amour (Texte lauréat du Prix Lucernaire Laurent Terzieff-Pascale de Boysson 2020), écrit et mes par Thomas Gaubiac
Janvier-Février-Mars 2021: Lecteur pour Mille lectures d'hiver, Ciclic
2020-2021:
- intervenant avec la classe de 1ère option facultative théâtre du Lycée Grandmont, Tours
- intervenant dans un atelier théâtre avec un groupe d'adultes du lieu de vie de la vallée Germain
Comédien - metteur en scène
Thomas Lonchampt pratique le théâtre, la danse, le chant et la musique depuis son adolescence. Il obtient son Bac option théâtre et danse en 2006. Puis il intensifie ses pratiques artistiques à Dijon, parallèlement à ses études d'éducateur spécialisé à l'IRTESS, d'où il sort diplômé en 2009. Il se perfectionne ensuite pendant trois ans au conservatoire de Chalon-sur-Saône en chant dans la classe d'Aude Husson-Patru, et en musique, danse et théâtre.
En 2012, il joue Oreste dans Les Mouches de Jean-Paul Sartre, mis en scène par Éric Ferrand, au Théâtre Dijon Bourgogne. Puis, il intègre la Manufacture - Haute École des Arts de la Scène de Suisse Romande - avec l'envie de développer ses propres outils pour gagner en autonomie dans la création artistique.
Après l'obtention de son Bachelor comédien en 2015, il travaille avec Jean-François Sivadier dans Portraits de famille - Talents Adami (Festival d'Automne, Paris) et pour Écrits d'acteurs (Festival In d'Avignon 2016). Il travaille comme figurant à l'Opéra de Lausanne notamment dans Faust de Gounod mis en scène par Stefano Poda.
En 2016, il joue dans Éclipse sous la direction d’Angélique Friant au Théâtre de Marionnettes de Genève et fonde avec Emma Pluyaut-Biwer la compagnie Du bout des yeux. Ensemble, ils créent Angèle et Anatole qui remportera le prix du jury du Festival Le Printemps des Compagnies du Théâtre des Osses de Fribourg en 2019.
Après cinq années à Lausanne, il s'installe en 2017 à Tours et joue dans Jardin Secret de Fabien Arca mis en scène par Jean-Michel Rivinoff (compagnie La lune blanche).
Sous forme de stages, il poursuit sa formation sur l'écriture scénique avec la compagnie belge La Fabrique imaginaire, sur Pylade de Pasolini avec la compagnie italienne Motus, rencontre Yoshi Oïda dans un workshop de 9 jours à Paris, puis Nadine George (formée auprès de Roy Hart) et sa recherche sur la voix reliée au texte à Copenhague.
Avec l'Opéra de Tours, en 2019, il participe au spectacle La flûte enchantée mis en scène par Bérénice Collet, et joue Ambrogio en 2020 dans Le Barbier de Séville, mis en scène par Laurent Pelly.
Depuis 2019 il fait partie des comédiens-lecteurs du projet Mille lectures d’hiver organisé par CICLIC.
Il rencontre les compagnies Pih-Poh et Jabberwock et devient intervenant pour eux dans des ateliers de théâtre via les projets Théâ de l'OCCE37, les Arts Lycéens au Lycée Grandmont et avec des adultes en situation de handicap.
En Août 2020, il joue le rôle de Marciac dans le téléfilm Mauvaises graines réalisé par Thierry Petit et jouera en 2021 dans Conte d'amour de Thomas Gaubiac (Prix du Lucernaire Laurent Terzieff - Pascale de Boysson) créé au théâtre de Chartres.
En 2012, il joue Oreste dans Les Mouches de Jean-Paul Sartre, mis en scène par Éric Ferrand, au Théâtre Dijon Bourgogne. Puis, il intègre la Manufacture - Haute École des Arts de la Scène de Suisse Romande - avec l'envie de développer ses propres outils pour gagner en autonomie dans la création artistique.
Après l'obtention de son Bachelor comédien en 2015, il travaille avec Jean-François Sivadier dans Portraits de famille - Talents Adami (Festival d'Automne, Paris) et pour Écrits d'acteurs (Festival In d'Avignon 2016). Il travaille comme figurant à l'Opéra de Lausanne notamment dans Faust de Gounod mis en scène par Stefano Poda.
En 2016, il joue dans Éclipse sous la direction d’Angélique Friant au Théâtre de Marionnettes de Genève et fonde avec Emma Pluyaut-Biwer la compagnie Du bout des yeux. Ensemble, ils créent Angèle et Anatole qui remportera le prix du jury du Festival Le Printemps des Compagnies du Théâtre des Osses de Fribourg en 2019.
Après cinq années à Lausanne, il s'installe en 2017 à Tours et joue dans Jardin Secret de Fabien Arca mis en scène par Jean-Michel Rivinoff (compagnie La lune blanche).
Sous forme de stages, il poursuit sa formation sur l'écriture scénique avec la compagnie belge La Fabrique imaginaire, sur Pylade de Pasolini avec la compagnie italienne Motus, rencontre Yoshi Oïda dans un workshop de 9 jours à Paris, puis Nadine George (formée auprès de Roy Hart) et sa recherche sur la voix reliée au texte à Copenhague.
Avec l'Opéra de Tours, en 2019, il participe au spectacle La flûte enchantée mis en scène par Bérénice Collet, et joue Ambrogio en 2020 dans Le Barbier de Séville, mis en scène par Laurent Pelly.
Depuis 2019 il fait partie des comédiens-lecteurs du projet Mille lectures d’hiver organisé par CICLIC.
Il rencontre les compagnies Pih-Poh et Jabberwock et devient intervenant pour eux dans des ateliers de théâtre via les projets Théâ de l'OCCE37, les Arts Lycéens au Lycée Grandmont et avec des adultes en situation de handicap.
En Août 2020, il joue le rôle de Marciac dans le téléfilm Mauvaises graines réalisé par Thierry Petit et jouera en 2021 dans Conte d'amour de Thomas Gaubiac (Prix du Lucernaire Laurent Terzieff - Pascale de Boysson) créé au théâtre de Chartres.
Présentation officieuse (en 5 minutes)
Pour me présenter, je souhaite utiliser les mots d’autrui : auteurs, acteurs, poètes et metteurs en scène qui m’ont marqué ces dernières années et qui d’une certaine manière m’ont permis d’être qui je suis aujourd’hui. (présentation réalisée lors de 9 jours de stage avec Yoshi Oida en 2018)
Laurent Terzieff, Seul avec tous.
« …Que ce paysage soit le lieu du poème où l’on pourra se promener en toute liberté, choisissant soi-même ses chemins, quitte à les tracer…quitte aussi à s’y perdre… »
Rainer Maria Rilke. Lettres à un jeune poète.
« Cherchez à dire, comme si vous étiez le premier homme, ce que vous voyez, ce que vous éprouvez, ce qui est pour vous objet d’amour ou de perte. Décrivez vos tristesses et vos désirs, les pensées qui vous traversent l’esprit et la croyance à une beauté qu’elle qu’elle soit. Décrivez tout cela en obéissant à une honnêteté profonde, humble et silencieuse, et, pour vous exprimer, ayez recours aux choses qui vous entourent, aux images de vos rêves et aux objets de vos souvenirs. »
Jean-Luc Lagarce. Du luxe et de l'impuissance
« Ne pas craindre de se perdre »
Hervé Le Tellier. Les amnésiques n’ont rien vécu d’inoubliable.
« Je pense que si, en ouvrant un dictionnaire au hasard, on tombait sur le mot hasard, ce serait un miracle, alors que si on tombait sur le mot miracle, ce serait un hasard. »
Emile Cioran. De l’inconvénient d’être né.
« Je sais que ma naissance est un hasard, un accident risible, et cependant, dès que je m’oublie, je me comporte comme si elle était un événement capital, indispensable à la marche et à l’équilibre du monde. »
Jean Genet. L’atelier d’Alberto Giacometti.
« Étant ce qui je suis et sans réserve, ma solitude connaît la vôtre. »
Hervé Le Tellier. Les amnésiques n’ont rien vécu d’inoubliable.
« Je pense que j’aurais aimé avoir un corps plus musclé, mais qu’après tout, c’est entièrement de ma faute »
Jean Genet. L’atelier d’Alberto Giacometti.
« Chacun a sa beauté parce qu’il est seul à être, il y a en lui l’irremplaçable. »
Thomas Vinau. Nos cheveux blanchiront avec nos yeux.
« Il est incroyable de constater l’endurance avec laquelle tu t’occupes de moi, m’écoutes, me supportes et me comprends. La vraie question est de savoir comment tu peux encore t’intéresser à cette imposture que j’incarne, à ce chat peureux qui se fait passer pour un lion. C’est à croire que tu es sourde au vacarme de mes défaites, que ce n’est pas cette musique là que tu écoutes, ou que tu aimes le bruit déchiré de ma peau lorsque j’enlève les masques. C’est à croire que tu m’aimes bien au-delà de moi. »
Marc-Aurèle. Pensées. Livres VII-XII
« Regarde en toi-même ! En toi est la source du bien qui toujours peut jaillir si tu creuses toujours. »
Emile Cioran. Syllogismes de l’amertume.
« On ne redoute plus le lendemain lorsqu’on apprend à puiser à pleines mains dans le vide. L’ennui opère des prodiges : il convertit la vacuité en substance, il est lui-même vide-nourricier. »
Laurent Terzieff, Seul avec tous.
« Le théâtre est à l’image de la vie : un perpétuel devenir. »
La Fabrique imaginaire. Accueillir l’inattendu.
« Je trouve que c’est bien de défendre les choses formidables, mais aussi les choses que l’on ne sait pas faire, de défendre en public qu’on ne sait pas encore bien le faire… ça fait partie de ce qui est vrai et qu’il ne faut pas nécessairement cacher. »
Jacques Lecoq. Le corps poétique.
« Tout bouge
Tout évolue, progresse
Tout se ricochette et se réverbère.
D’un point à un autre, pas de ligne droite.
D’un port à un port : un voyage.
Tout bouge, moi aussi !
Le bonheur et le malheur, mais le heurt aussi.
Un point indécis, flou, confus, se dessine.
Points de convergences.
Tentation d’un point fixe, dans un calme de toutes les passions.
Point d’appui et d’arrivée.
Dans ce qui n’a ni commencement ni fin.
Le nommer, le rendre vivant, lui donner autorité, pour mieux comprendre ce qui bouge, pour mieux comprendre le Mouvement. »
Fernando Pessoa, Fragments d’un voyage immobile.
« Je n’évolue pas : je voyage. »
Jean-Luc Lagarce. Du luxe et de l’impuissance.
« Nous devons rester vigilants devant le monde, et rester vigilants devant le monde, c’est être encore vigilants devant nous-mêmes. Nous devons surveiller le mal et la haine que nous nourrissons en secret sans le savoir, sans vouloir le savoir, sans même oser l’imaginer, la haine souterraine, silencieuse, attendant son heure pour nous dévorer et se servir de nous pour dévorer d’innocents ennemis. Les lieux de l’Art peuvent nous éloigner de la peur et lorsque nous avons moins peur, nous sommes moins mauvais. »
Laurent Terzieff, Seul avec tous.
« J’ai bon espoir pour le théâtre s’il continue de refléter nos rêves, nos aspirations, nos illusions, nos combats, nos échecs, nos angoisses et aussi nos mensonges et nos erreurs, et tout ça… pour la joie, pour la peine, pour unir nos solitudes, et aussi, pourquoi pas pour rire ! J’ai bon espoir pour le théâtre si on le laisse aller vers la vie. »
Thomas Vinau. La part des nuages.
« Les livres sont des lettres que l’on plante comme des arbres. Et qui poussent dans le cœur des gens. »
Thomas Vinau. Nos cheveux blanchiront avec nos yeux.
« Ne pas redouter le silence. »
Fernando Pessoa, Fragments d’un voyage immobile.
« Il y a deux façons de dire : parler et se taire. »
Pour me présenter, je souhaite utiliser les mots d’autrui : auteurs, acteurs, poètes et metteurs en scène qui m’ont marqué ces dernières années et qui d’une certaine manière m’ont permis d’être qui je suis aujourd’hui. (présentation réalisée lors de 9 jours de stage avec Yoshi Oida en 2018)
Laurent Terzieff, Seul avec tous.
« …Que ce paysage soit le lieu du poème où l’on pourra se promener en toute liberté, choisissant soi-même ses chemins, quitte à les tracer…quitte aussi à s’y perdre… »
Rainer Maria Rilke. Lettres à un jeune poète.
« Cherchez à dire, comme si vous étiez le premier homme, ce que vous voyez, ce que vous éprouvez, ce qui est pour vous objet d’amour ou de perte. Décrivez vos tristesses et vos désirs, les pensées qui vous traversent l’esprit et la croyance à une beauté qu’elle qu’elle soit. Décrivez tout cela en obéissant à une honnêteté profonde, humble et silencieuse, et, pour vous exprimer, ayez recours aux choses qui vous entourent, aux images de vos rêves et aux objets de vos souvenirs. »
Jean-Luc Lagarce. Du luxe et de l'impuissance
« Ne pas craindre de se perdre »
Hervé Le Tellier. Les amnésiques n’ont rien vécu d’inoubliable.
« Je pense que si, en ouvrant un dictionnaire au hasard, on tombait sur le mot hasard, ce serait un miracle, alors que si on tombait sur le mot miracle, ce serait un hasard. »
Emile Cioran. De l’inconvénient d’être né.
« Je sais que ma naissance est un hasard, un accident risible, et cependant, dès que je m’oublie, je me comporte comme si elle était un événement capital, indispensable à la marche et à l’équilibre du monde. »
Jean Genet. L’atelier d’Alberto Giacometti.
« Étant ce qui je suis et sans réserve, ma solitude connaît la vôtre. »
Hervé Le Tellier. Les amnésiques n’ont rien vécu d’inoubliable.
« Je pense que j’aurais aimé avoir un corps plus musclé, mais qu’après tout, c’est entièrement de ma faute »
Jean Genet. L’atelier d’Alberto Giacometti.
« Chacun a sa beauté parce qu’il est seul à être, il y a en lui l’irremplaçable. »
Thomas Vinau. Nos cheveux blanchiront avec nos yeux.
« Il est incroyable de constater l’endurance avec laquelle tu t’occupes de moi, m’écoutes, me supportes et me comprends. La vraie question est de savoir comment tu peux encore t’intéresser à cette imposture que j’incarne, à ce chat peureux qui se fait passer pour un lion. C’est à croire que tu es sourde au vacarme de mes défaites, que ce n’est pas cette musique là que tu écoutes, ou que tu aimes le bruit déchiré de ma peau lorsque j’enlève les masques. C’est à croire que tu m’aimes bien au-delà de moi. »
Marc-Aurèle. Pensées. Livres VII-XII
« Regarde en toi-même ! En toi est la source du bien qui toujours peut jaillir si tu creuses toujours. »
Emile Cioran. Syllogismes de l’amertume.
« On ne redoute plus le lendemain lorsqu’on apprend à puiser à pleines mains dans le vide. L’ennui opère des prodiges : il convertit la vacuité en substance, il est lui-même vide-nourricier. »
Laurent Terzieff, Seul avec tous.
« Le théâtre est à l’image de la vie : un perpétuel devenir. »
La Fabrique imaginaire. Accueillir l’inattendu.
« Je trouve que c’est bien de défendre les choses formidables, mais aussi les choses que l’on ne sait pas faire, de défendre en public qu’on ne sait pas encore bien le faire… ça fait partie de ce qui est vrai et qu’il ne faut pas nécessairement cacher. »
Jacques Lecoq. Le corps poétique.
« Tout bouge
Tout évolue, progresse
Tout se ricochette et se réverbère.
D’un point à un autre, pas de ligne droite.
D’un port à un port : un voyage.
Tout bouge, moi aussi !
Le bonheur et le malheur, mais le heurt aussi.
Un point indécis, flou, confus, se dessine.
Points de convergences.
Tentation d’un point fixe, dans un calme de toutes les passions.
Point d’appui et d’arrivée.
Dans ce qui n’a ni commencement ni fin.
Le nommer, le rendre vivant, lui donner autorité, pour mieux comprendre ce qui bouge, pour mieux comprendre le Mouvement. »
Fernando Pessoa, Fragments d’un voyage immobile.
« Je n’évolue pas : je voyage. »
Jean-Luc Lagarce. Du luxe et de l’impuissance.
« Nous devons rester vigilants devant le monde, et rester vigilants devant le monde, c’est être encore vigilants devant nous-mêmes. Nous devons surveiller le mal et la haine que nous nourrissons en secret sans le savoir, sans vouloir le savoir, sans même oser l’imaginer, la haine souterraine, silencieuse, attendant son heure pour nous dévorer et se servir de nous pour dévorer d’innocents ennemis. Les lieux de l’Art peuvent nous éloigner de la peur et lorsque nous avons moins peur, nous sommes moins mauvais. »
Laurent Terzieff, Seul avec tous.
« J’ai bon espoir pour le théâtre s’il continue de refléter nos rêves, nos aspirations, nos illusions, nos combats, nos échecs, nos angoisses et aussi nos mensonges et nos erreurs, et tout ça… pour la joie, pour la peine, pour unir nos solitudes, et aussi, pourquoi pas pour rire ! J’ai bon espoir pour le théâtre si on le laisse aller vers la vie. »
Thomas Vinau. La part des nuages.
« Les livres sont des lettres que l’on plante comme des arbres. Et qui poussent dans le cœur des gens. »
Thomas Vinau. Nos cheveux blanchiront avec nos yeux.
« Ne pas redouter le silence. »
Fernando Pessoa, Fragments d’un voyage immobile.
« Il y a deux façons de dire : parler et se taire. »
Curriculum Vitae

cvthomaslonchampt.pdf | |
File Size: | 171 kb |
File Type: |
Portraits
Extraits vidéo
- Extrait numéro 1 : Variation filmique autour du spectacle Conte d'amour, mes Thomas Gaubiac, cie Rosa M
- Extrait numéro 2 : Court métrage Viande de Christophe Saber, avec N. Tanner, ECAL, 2014. - Extrait numéro 3: Publicité pour la mobilité à Genève
- Extrait numéro 4 : Dans l'émission "La puce à l'oreille "sur la RTS: Emma Pluyaut-Biwer, Cyprien Colombo et Thomas Lonchampt; Denis Maillefer parle de son travail avec les élèves-comédiens de la Manufacture, promotion G
- Extrait numéro 5: Teaser pour la création de Portrait de famille, mis en scène par Jean-François Sivadier, assisté de Rachid Zanouda, dans le cadre des Talents Adami 2015, Festival d'Automne, Atelier Carolyn Carlson, Paris.
- Extrait numéro 6: danseur pour le clip vidéo "Always behind us" de LLamatron.
|
|
Photos de jeu
Liens fiches personnelles
Presse
Sur Jardin secret, mise en scène J.M Rivinoff, saison 2017/2018:
1. http://www.lanouvellerepublique.fr/Loir-et-Cher/Communes/Talcy/n/Contenus/Articles/2017/06/06/Les-amours-de-deux-enfants-3124011
2. http://www.lanouvellerepublique.fr/Loir-et-Cher/Communes/Talcy/n/Contenus/Articles/2017/06/06/Les-amours-de-deux-enfants-3124011
3. www.larep.fr/saran/loisirs/2017/10/21/le-theatre-de-la-tete-noire-presente-jardin-secret-aujourdhui_12599795.html
Critiques Lac de Pascal Rambert, mise en scène Denis Maillefer, en juin 2015:
1. Le temps, par Marie-Pierre Genecand, 22.06.2015
2. RTS radio, émission Vertigo, par Thierry Sartoretti, 25.05.2015
3. Mediapart, par Jean-Pierre Thibaudat, 30.06.2015
Critique Portrait de famille, mise en scène Jean-François Sivadier, en novembre 2015:
Mouvement.net, par Alice Bourgeois, 18.11.2015
1. http://www.lanouvellerepublique.fr/Loir-et-Cher/Communes/Talcy/n/Contenus/Articles/2017/06/06/Les-amours-de-deux-enfants-3124011
2. http://www.lanouvellerepublique.fr/Loir-et-Cher/Communes/Talcy/n/Contenus/Articles/2017/06/06/Les-amours-de-deux-enfants-3124011
3. www.larep.fr/saran/loisirs/2017/10/21/le-theatre-de-la-tete-noire-presente-jardin-secret-aujourdhui_12599795.html
Critiques Lac de Pascal Rambert, mise en scène Denis Maillefer, en juin 2015:
1. Le temps, par Marie-Pierre Genecand, 22.06.2015
2. RTS radio, émission Vertigo, par Thierry Sartoretti, 25.05.2015
3. Mediapart, par Jean-Pierre Thibaudat, 30.06.2015
Critique Portrait de famille, mise en scène Jean-François Sivadier, en novembre 2015:
Mouvement.net, par Alice Bourgeois, 18.11.2015
Me contacter
thomas_lt@live.fr ou 07 81 12 39 41